************ QUI AURAIT SOUVENIR D'UN MAGASIN MAMPEZA A COQUILHATVILLE ? IL ETAIT TENU PAR UNE FAMILLE PORTUGAISE ! PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be MERCI. ************ QUI AURAIT CONNU DANS LA PROVINCE DE L'EQUATEUR , FIN DES ANNEES 1940 ET JUSQUE 1960, DENIS GOUVRIER, AGRONOME. IL AURAIT TRAVAILLE PRINCIPALEMENT A MONKOTO, BOENDE ET PEUT-ETRE DANS LA REGION DE COQUILHATVILLE. PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be. MERCI. ************

jeudi 13 août 2015

Mongala: un enfant meurt de malnutrition tous les deux jours à Binga

Radio Okapi 
13/08/2015

Des vendeuses de légumes le 12/3/2012
à Kinshasa, lors de la 4e foire de
l’entrepreneuriat féminin.
Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
La malnutrition tue « un enfant chaque deux jours » dans la zone de santé de Binga, à 115 kilomètres de Lisala, dans la nouvelle province de la Mongala. Selon le responsable de la nutrition de la zone de santé, Charles Epombo, une centaine d’enfants âgés de moins de cinq ans est concernée par le phénomène de malnutrition, et le personnel de l’hôpital s’estime démuni face au problème. 
«Tous les deux jours, nous avons un décès d’un enfant mal nourri. Au niveau de la zone, nous n’avons pas les moyens pour la prise en charge de ces enfants. C’est pourquoi nous avons constaté, ces derniers temps, un taux élevé de malnutrition dans notre zone de santé», a expliqué le nutritionniste. 

Selon lui, les responsables médicaux font face à une pénurie de médicaments depuis février, suite à la fin d’un partenariat. M. Epombo lance un appel à l’aide. 
«Nous n’avons aujourd’hui plus de partenaire pour nous aider financièrement. Nous sommes en train de chercher un partenariat de bonne volonté pour les moyens matériels et financiers», a-t-il déclaré. 
Du côté de la société civile, on estime que cette malnutrition est consécutive à la pauvreté de la population locale. 
« La plupart de ces parents pauvres sont des agents de la Société des Cultures au Congo/Binga, et accusent actuellement six mois d’arriérés de salaires », explique ce représentant de la société civile.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire