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samedi 11 janvier 2014

En l’absence de Koyagialo en mission : le vice-gouverneur Sébastien Impeto dirige dignement la province de l’Equateur

Digital Congo 
11/01/2014

Sébastien Impeto ne marche que sur les traces de son titulaire Koyagialo, dont le retour est attendu incessamment en République démocratique du Congo, a déclaré un ministre provincial honoraire de l’Equateur qui a requis l’anonymat. 

Des rumeurs folles distillées dans les villes de Kinshasa et Mbandaka, font état de megestion de la province de l’Equateur que dirige actuellement à titre intérimaire, le vice-gouverneur Sébastien Impeto. 

Les sources indépendantes et dignes de foi qui se sont confiées à Digitalcongo.net ont tout simplement balayé de revers de la main toutes ces spéculations de mauvais goût. 

Selon ces dernières, il s’agit bel et bien d’une kyrielle d’aigris qui tentent à tout prix à renverser le « vertébré » Louis Alphonse Koyagialo, profitant de son absence prolongée au pays. 

Sébastien Impeto ne marche que sur les traces de son titulaire Koyagialo, dont le retour est attendu incessamment en République démocratique du Congo, a déclaré un ministre provincial honoraire de l’Equateur qui a requis l’anonymat.

Le gouverneur de l’Equateur, ci-devant M. Louis-Alphonse Koyagialo, qui avait été transféré en soins en Afrique suite à un AVC pourrait bientôt regagner le pays parce que, annonce-t-on, il avait depuis, terminé les rendez-vous de traitement et contrôle médical qu’il suivait et que pour l’instant il est en mission à l’étranger. 

Deux décennies durant, la province de l’Equateur était en proie à une instabilité politique chronique. Conséquence : une kyrielle de gouverneurs qui se sont succédé au gré des humeurs des députés provinciaux, « faiseurs des rois ». Et vogue la galère à l’Equateur ! Puis vint Louis-Alphonse Koyagialo qui, une fois élu à la tête de la province, a réussi à redresser la barre. 

Il a mis en place une gestion orthodoxe et moderne de la province. Mais, profitant de son absence prolongée en repos médical en Afrique du Sud, une poignée d’aigris, en mal de gloriole, se lancent dans l’intoxication. Leur but ? Faire déclarer Koyagialo inapte pour propulser leur pion.

Un groupe d’individus se réclamant du PPRD/Equateur, Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie, a fait le déplacement de Kinshasa pour une mission des plus obscures. Selon une source qui a requis l’anonymat pour des raisons évidentes, ces militants du parti de Kabila se sont réunis dans une messe noire, avant de rejoindre la capitale congolaise. Leur mission dans la capitale consiste à rencontrer des bonzes de leur formation politique, pour traiter du cas Koyagialo. 

Pour eux, le gouverneur Louis-Alphonse Koyagialo, qui étaient en soins médicaux en Afrique du Sud, serait encore dans un état critique d’indisponibilité qui ne lui permettrait plus d’assumer ses fonctions, alors que c’est faux et archifaux car 

Le Tandem Koyagialo-Impeto pour le développement de l’Equateur

Elus gouverneur et vice-gouverneur en date du 10 juin 2013, Koyagialo et Impeto ont réussi à mettre tout le monde d’accord. D’abord, au sein de l’assemblée provinciale où ils ont prononcé un discours de très haute facture, lequel a convaincu même les plus sceptiques des élus provinciaux. 

Au cours de son allocution, Koyagialo a fait un diagnostic sans complaisance sur l’état de la province. En interpellant plus d’un Equatorien sur la responsabilité de tout un chacun sur la descente aux enfers de l’Equateur, durant les deux dernières décennies. Il a ensuite livré à ses compatriotes sa vision pour développer la province à travers son discours-programme. Lequel demeure du reste, un tableau de bord pour l’exécutif provincial.

Pour des esprits avisés, c’était donc un tournant décisif dans la gestion de la chose publique. Une gouvernance qui balisait le chemin pour un vrai décollage. 

L’optimisme a gagné la population qui a cru en lui. Elle lui a fait confiance. Comme Barak Obama aux Américains, « Koya » a battu le rappel des troupes et dit à ces compatriotes, « oui, nous pouvons » ! Quel engouement à cet appel ! Les prophètes de malheurs, qui avaient prédit un avenir sombre pour l’Equateur, se confondirent en excuses.

Car, aussitôt qu’il a pris les rennes du pouvoir, il s’est jeté dans le bain. Des engins lourds ont envahi les routes caillouteuses de Mbandaka. L’eau a commencé à jaillir des robinets, l’électricité a été réparée et la lumière succéda à l’obscurité. Mbandaka a repris vie. Tout bougeait à mille lieux. Et les Equatoriens se sont mis au travail. Ils ne juraient plus que par celui qu’ils appellent affectueusement « Nzombo le soir ». Sebastien Impeto poursuit avec le même plan actuellement. Nous y reviendrons. 
Célestin Lutete/MMC

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