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jeudi 27 juin 2013

Equateur: 35% d’enfants souffrent de malnutrition aigue à Bolomba

Radio Okapi
26/06/2013

Des enfants le 20/11/2011 à Kinshasa,
lors de la campagne électorale d’un
candidat aux élections de 2011 en RDC.
Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
 
Environ 35% d’enfants souffrent de malnutrition aiguée globale dans la zone de santé de Bolomba. Le seuil normal de malnutrition est de 20%. Le coordonnateur du Programme national de nutrition (Pronanut), Alphonse Makpolo, l’a affirmé, mercredi 26 juin à Mbandaka, au terme d’une mission d’enquête conduite dans cette zone de santé. 

Cette situation est due à la faible production agricole et au manque de culture agricole des habitants de Bolomba qui ont une mauvaise alimentation basée essentiellement sur le manioc. 

La malnutrition dont souffrent les enfants de cette zone survient après de nombreuses alertes lancées par les autorités locales et les organisations de la société civile de l’Equateur. 


«Le médecin directeur d’un hôpital a fait un champ d’arachides et on lui a dit qu’il était venu soigner les malades et non cultiver. Nous avons rencontré les acteurs de la société civile pour leur interdire de dire ça», a indiqué Alphonse Makpolo. 

Au mois d’avril dernier, le médecin chef de zone de santé intérimaire de Bolomba, Pius Mowangi, avait déjà plaidé pour l’intervention de nouveaux partenaires pour aider à prendre correctement en charge les enfants malades et sensibiliser les parents à prévenir la maladie. 

Cette prise en charge est devenue difficile, selon lui, depuis le désengagement il y a quelques mois des ONG qui prenaient en charge des enfants malnutris de ce territoire. 

L’inspecteur de l’agriculture et administrateur de ce territoire, Camille Kashafali, avait attribué cette situation au manque d’outils aratoires et de semences. 

«Nous n’avons pas d’outils aratoires parce qu’il y a eu la guerre et on a pillé. Même les bureaux dans lesquels nous travaillons, l’état dans lequel ils se trouvent nécessite un appui indispensable pour relancer l’économie et nous permettre de lutter contre cette malnutrition accrue», avait-il expliqué.

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